Guizot préférait les personnes aux choses, et les livres aux voyages.
Les circonstances ont décidé de ses attachements territoriaux : Nîmes, où il est né, Genève où il s’est formé, l’Angleterre où il fut ambassadeur puis exilé, sa maison du Val-Richer dans le Pays d’Auge où il s’établit sans l’avoir vraiment choisi. Ce furent là, dit-il, ses quatre patries.
Même s’il vécut à Paris la plus grande partie de sa vie, il ne se sentit jamais vraiment parisien.
Quant à voyager par plaisir ou curiosité, en France et hors de France, l’idée ne semble pas lui en être venue. Le lieu préféré de François Guizot est celui où il se trouve.